La pression sanguine et les pulsations du cœur, qui étaient modifiées à chaque cigarette fumée, ne sont plus perturbées.
La quantité de monoxyde de carbone dans le sang diminue de moitié et l’oxygénation des cellules redevient normale.
Le corps ne contient plus de nicotine.
Le goût et l’odorat s’améliorent.
Respirer devient plus facile.
Le risque d’infarctus a commencé à diminuer car la coagulation s’est normalisée.
La peau est plus belle.
La toux et la fatigue diminuent. On récupère du souffle. On marche plus facilement.
Moins de risques d’avoir une maladie du cœur.
Le risque de cancer du poumon a diminué presque de moitié.
Prendre soin de ses proches, c’est une très bonne raison d’arrêter de fumer et de tenir bon ! C’est un point que l’on peut ajouter à sa liste de motivations.
Prendre soin de ses proches, c’est une très bonne raison d’arrêter de fumer et de tenir bon ! C’est un point que l’on peut ajouter à sa liste de motivations.
La nicotine contenue dans le tabac est très addictive. Or, ce qu’on ne sait pas toujours, c’est qu’il y a plusieurs sortes de dépendances…et personne n’est accro au tabac de la même façon !
Se libérer du tabac c’est donc déjà comprendre ses dépendances, leurs mécanismes et ainsi trouver les meilleures solutions pour être enfin libéré !
La nicotine contenue dans le tabac est très addictive. Or, ce qu’on ne sait pas toujours, c’est qu’il y a plusieurs sortes de dépendances…et personne n’est accro au tabac de la même façon !
Se libérer du tabac c’est donc déjà comprendre ses dépendances, leurs mécanismes et ainsi trouver les meilleures solutions pour être enfin libéré !
Ça, c’est le manque physique de nicotine dans l’organisme. C’est ce manque qui fait ressentir le besoin de fumer ! Ce manque peut également rendre irritable, triste, anxieux, donner faim …
Il faut d’abord évaluer ce niveau de dépendance physique au tabac avec le test de niveau de dépendance. En fonction du niveau de dépendance, le recours à des substituts nicotiniques (patchs, pastilles à sucer, gommes à mâcher…) peut-être envisagé. Leur utilisation doit être encadrée par un professionnel de santé !
Ça, c’est le manque physique de nicotine dans l’organisme. C’est ce manque qui fait ressentir le besoin de fumer ! Ce manque peut également rendre irritable, triste, anxieux, donner faim …
Il faut d’abord évaluer ce niveau de dépendance physique au tabac avec le test de niveau de dépendance. En fonction du niveau de dépendance, le recours à des substituts nicotiniques (patchs, pastilles à sucer, gommes à mâcher…) peut-être envisagé. Leur utilisation doit être encadrée par un professionnel de santé !
Essayer de trouver une alternative à cette cigarette là qui vous procurera le même type de soulagement ! Jouer avec une balle anti-stress, discuter, mâcher un chewing-gum, se dégourdir les jambes…
Beaucoup de fumeurs parleront de plaisir en premier lieu. Cette dépendance peut aussi se traduire par un effet relaxant, de décompression, une sensation de bien-être voire aussi un moment de partage.
Beaucoup de fumeurs parleront de plaisir en premier lieu. Cette dépendance peut aussi se traduire par un effet relaxant, de décompression, une sensation de bien-être voire aussi un moment de partage.
Essayer de trouver une alternative à cette cigarette là qui vous procurera le même type de soulagement ! Jouer avec une balle anti-stress, discuter, mâcher un chewing-gum, se dégourdir les jambes…
Les fumeurs le savent bien, il suffit d’être à un endroit ou avec certaines personnes par exemple pour déclenchent l’envie de fumer. Fumer devient à ce moment un geste réflexe. Le besoin n’est pas lié au manque de nicotine mais à la situation elle-même.
Repérer ces « cigarettes-réflexes » et essayer de changer certaines habitudes, d’éviter certaines situations à risque et d’avoir une stratégie pour éviter de « craquer ».
Les fumeurs le savent bien, il suffit d’être à un endroit ou avec certaines personnes par exemple pour déclenchent l’envie de fumer. Fumer devient à ce moment un geste réflexe. Le besoin n’est pas lié au manque de nicotine mais à la situation elle-même.
Repérer ces « cigarettes-réflexes » et essayer de changer certaines habitudes, d’éviter certaines situations à risque et d’avoir une stratégie pour éviter de « craquer ».
est un bon outil pour identifier les différentes raisons pour lesquelles on fume et trouver des alternatives pour faciliter l’arrêt !
est un bon outil pour identifier les différentes raisons pour lesquelles on fume et trouver des alternatives pour faciliter l’arrêt !
Le tabac est une plante aux multiples variétés, cultivée dans de nombreux pays. Les feuilles sont séchées et subissent ensuite un processus de fermentation, ce qui leur donne du goût. Les variétés de plantes et les techniques de séchage déterminent les tabacs blonds et bruns.
La feuille de tabac contient une substance psychoactive : la nicotine, responsable de la dépendance au tabac. En plus de la nicotine, beaucoup d’autres substances entrent dans la composition des tabacs : goudrons, plomb, mercure, acétone, ammoniac, arsenic…près de 4000 substances plus ou moins toxiques sont présentes dans les tabacs à fumer.
Le tabac prend de nombreuses formes : tabac à rouler, bison, cigarette, cigarillos, cigares, tabac à pipe, à priser ou encore à prendre sous forme humide, et le marketing des fabricants à toujours su rendre attractifs ces différents produits.
Ce n’est pas une surprise…consommer du tabac, quelle que soit sa forme, représente de nombreux risques pour notre santé et celle des autres.
La fumée émise quand on fume est nocive pour le fumeur mais également pour les personnes autour de lui qui la respirent, c’est ce qu’on appelle le tabagisme passif. Le tabagisme passif représente des risques pour la santé de nos proches.
•Risque de mort subite du nourrisson augmenté
•Risque d’otite récidivante augmenté
•Risque de crise d’asthme augmenté
•Risque de bronchites augmenté
•Risque d’irritations des yeux, du nez, de la gorge
•Accident Vasculaire Cérébral
•Cancer du poumon
•Arrêt cardiaque (infarctus du myocarde)
•Maladies respiratoires chroniques
•Risque de fausse-couche
•Retard de croissance pour le fœtus
•Retard de développement intellectuel pour le foetus
•Malformations
•Mort in utero